http://www.lephoceen.fr/depeches/les-nouveaux-maillots-devoiles-14514
+30
Need Ketamine
YAK-B
GTD
Mega
W~Dog
JP Kof Kof
Lebowski
Suvann
$tr8
OG chris
bibi
b0ud4
Mad Max
rocaman
east.fo.cho
Louis XIV
dirt'hyzzle
The Number 9
Solbi
Bizness
Ghambe
black eagle
Malamati
EtranG
Goldpussy
The Bunk
Randy Watson
Juv'
fylou
Fearless
34 participants
Ligue 1 2008/2009
EtranG- Nombre de messages : 1346
Age : 40
Localisation : Marseille
Points : 639
Date d'inscription : 04/06/2008
- Message n°781
Re: Ligue 1 2008/2009
les new maillot de la prochaine saison:
http://www.lephoceen.fr/depeches/les-nouveaux-maillots-devoiles-14514
http://www.lephoceen.fr/depeches/les-nouveaux-maillots-devoiles-14514
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°782
Re: Ligue 1 2008/2009
ON EST CHAMPIONS BORDEL
Solbi- Nombre de messages : 485
Age : 38
Points : 390
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°783
Re: Ligue 1 2008/2009
C'est moi ou vos médias parlent plus de la deuxième place de Marseille que du titre de Bordeaux ?
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°784
Re: Ligue 1 2008/2009
Ben oui, ce titre c'est pas Bordeaux qui l'a gagné mais Marseille qui l'a perdu... haha
Sinon on vient de me dire que Marouane avait annoncé sur TF1 qu'il restait... quelqu'un l'a vu ?
Sinon on vient de me dire que Marouane avait annoncé sur TF1 qu'il restait... quelqu'un l'a vu ?
Malamati- Nombre de messages : 4032
Age : 41
Points : 3326
Date d'inscription : 19/06/2008
- Message n°785
Re: Ligue 1 2008/2009
ouai mais ça c' était à prevoir. On va bientot pouvoir parler de lobby marseillais...
Alors que c' était programmé depuis 3 semaines. Y parait que le trophée se trouvait meme à marseille hier soir, les girondins ne l' auront qu' aujourdhui... scandaleux!
Comique aussi hier à 100% foot, mais ça a du etre lancé par d' autres medias avant, le bouc emissaire ec'est encore et toujours... Ben Arfa! La perte du titre lui retombe sur la gueule... il a interet à avoir les nerfs solide le garçon.
"Lors de la célébration du titre de champion de France des Girondins dimanche midi, Marouane Chamakh a annoncé qu'il jouerait encore à Bordeaux la saison prochaine."
voilà, Blanc a su trouver les mots, tant mieux.
Alors que c' était programmé depuis 3 semaines. Y parait que le trophée se trouvait meme à marseille hier soir, les girondins ne l' auront qu' aujourdhui... scandaleux!
Comique aussi hier à 100% foot, mais ça a du etre lancé par d' autres medias avant, le bouc emissaire ec'est encore et toujours... Ben Arfa! La perte du titre lui retombe sur la gueule... il a interet à avoir les nerfs solide le garçon.
"Lors de la célébration du titre de champion de France des Girondins dimanche midi, Marouane Chamakh a annoncé qu'il jouerait encore à Bordeaux la saison prochaine."
voilà, Blanc a su trouver les mots, tant mieux.
Malamati- Nombre de messages : 4032
Age : 41
Points : 3326
Date d'inscription : 19/06/2008
- Message n°786
Re: Ligue 1 2008/2009
Ben oui, ce titre c'est pas Bordeaux qui l'a gagné mais Marseille qui l'a perdu... haha
ouai c'est le refrain... Dans ce cas c'est Lyon qui l' a perdu ce titre, ils ont été 1er les 3/4 de la saison faut pas oublier.
ça me donne envie de taper un marseillais putain!!
Solbi- Nombre de messages : 485
Age : 38
Points : 390
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°787
Re: Ligue 1 2008/2009
C'est plutôt le public qui l'a poussé à le dire, à mon avis il partira pour finir en beauté et bon Bordeaux ne prendra pas le risque de le laisser partir gratos alors qu'il y'a moyen d'en tirer 15 millions facile.
Fearless- Nombre de messages : 538
Age : 43
Points : 305
Date d'inscription : 07/06/2008
- Message n°788
Re: Ligue 1 2008/2009
BORDEAUX CHAMPION!!!!!!!!
C'etait de la folie hier soir, et cet après-midi!!!! La preuve en exclusivité! Ptit cadeau!!
Et oui, Chamach à bien annoncé qu'il restait!!!Perso, j'y crois, il avait l'air sincère! Mais, putain, 80 000 personnes, c'etait magic!!!
black eagle- Nombre de messages : 681
Age : 38
Localisation : Toulon
Equipes favorites : Olympique Marseille,As Roma
Points : 609
Date d'inscription : 30/06/2008
- Message n°789
Re: Ligue 1 2008/2009
Quand tu vois que l'OM est la meilleur équipe de tous les temps en france a l'éxtérieur,qu'elle est la meilleure attaque,qu'elle a la meilleure différence de but,qu'elle est prémiere aux challenges de l'offensives et qu'elle serait champion si l'on appliquait la moyenne anglaise (trés révélatrice selon les spécialistes) on peut en effet avouer que l'OM aurait pu espérer mieux.Cependant je ne dis pas que Bordeaux a volé son titre,loin de là,ils ont une belle équipe et surtout un groupe trés soudé et cohérent.Malamati a écrit:Ben oui, ce titre c'est pas Bordeaux qui l'a gagné mais Marseille qui l'a perdu... haha
ouai c'est le refrain... Dans ce cas c'est Lyon qui l' a perdu ce titre, ils ont été 1er les 3/4 de la saison faut pas oublier.
ça me donne envie de taper un marseillais putain!!
Mais je dis simplement que l'OM aurait pu mieux faire au vu de toutes les stats que je te fournis.
Sinon ton TFC est en coupe d'europe,c'est une grosse saison pour eux.
Malamati- Nombre de messages : 4032
Age : 41
Points : 3326
Date d'inscription : 19/06/2008
- Message n°790
Re: Ligue 1 2008/2009
toujours des pseudo arguments...
sors les stats qui font que l' OM n' est pas champion, le nombre de points laché à domicile par exemple.
Bordeaux 11 victoires à la suite, ça aussi c' est un record.
Le resultats c'est 77 pts pour l' OM et 80 pour bordeaux, point.
ouai, à condition d' avoir tiré la leçon de l' an dernier.
L' effectif n' est absolument pas suffisant. On peut remercier Gignac, il lui sera difficile de faire une deuxieme saison avec autant de baraka. On peut trés bien couler l' an prochain.
sors les stats qui font que l' OM n' est pas champion, le nombre de points laché à domicile par exemple.
Bordeaux 11 victoires à la suite, ça aussi c' est un record.
Le resultats c'est 77 pts pour l' OM et 80 pour bordeaux, point.
Sinon ton TFC est en coupe d'europe,c'est une grosse saison pour eux.
ouai, à condition d' avoir tiré la leçon de l' an dernier.
L' effectif n' est absolument pas suffisant. On peut remercier Gignac, il lui sera difficile de faire une deuxieme saison avec autant de baraka. On peut trés bien couler l' an prochain.
Bizness- Nombre de messages : 1266
Age : 40
Localisation : La Rochelle / Bordeaux
Equipes favorites : Lyon, Bordeaux, Nancy, Reims
Points : 768
Date d'inscription : 07/06/2008
- Message n°791
Re: Ligue 1 2008/2009
Putain mais Blanc quel putain de coach quoi !!!!!!
fylou- Nombre de messages : 1179
Age : 65
Equipes favorites : OL
Points : 1181
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°792
Re: Ligue 1 2008/2009
Pourquoi?
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°793
Re: Ligue 1 2008/2009
Si il reste c'est avec salaire multiplié par 2 minimum et donc prolongation, obligéSolbi a écrit:C'est plutôt le public qui l'a poussé à le dire, à mon avis il partira pour finir en beauté et bon Bordeaux ne prendra pas le risque de le laisser partir gratos alors qu'il y'a moyen d'en tirer 15 millions facile.
Mais je viens de voir la vidéo on voit bien qu'il est complètement pilo, aucunement lucide sur le coup. Hier soir il annonçait qu'il partait et ce matin il dit qu'il reste... je doute que Blanc ait trouvé les mots dans la nuit
J'y crois encore un peu, mais je doute quand même fortement qu'il va partir
Fearless- Nombre de messages : 538
Age : 43
Points : 305
Date d'inscription : 07/06/2008
- Message n°794
Re: Ligue 1 2008/2009
Voici ce que Marouane a déclaré à skysports.
"Je vais rester ici la saison prochaine, je veux faire partie du club", a déclaré Chamakh skysports.com.
"J'aime l'esprit d'équipe ici. Il est vrai que je voulais partir et je veux réaliser mon rêve de jouer dans la Premier League, mais je dois quelque chose en retour à Bordeaux. Je vais rester la saison prochaine. Je veux faire partie de cette grande équipe et nous attendons avec impatience l'année prochaine la Ligue des champions".
black eagle- Nombre de messages : 681
Age : 38
Localisation : Toulon
Equipes favorites : Olympique Marseille,As Roma
Points : 609
Date d'inscription : 30/06/2008
- Message n°795
Re: Ligue 1 2008/2009
Tout d'abord ce ne sont pas des pseudos stats,étant donné que le classement a l'extérieur est visible sur le site de la lfp,idem pour celui du challenge de l'offensive et que celui de la moyenne anglaise est trés utilisé par les coach.Donc lorsque tu me parles de "pseudo arguments" je trouve ca un peu léger.Malamati a écrit:toujours des pseudo arguments...
sors les stats qui font que l' OM n' est pas champion, le nombre de points laché à domicile par exemple.
Bordeaux 11 victoires à la suite, ça aussi c' est un record.
Le resultats c'est 77 pts pour l' OM et 80 pour bordeaux, point.
Et quand tu me parles des points lachés a domicile c'est justement ce que j'ai expliqué dans mon poste.L'OM avait tout pour etre champion mais ces quelques mauvais résultats a domicile,je pense aux deux 0-0 face aux Mans et a Valanciennes nous prive du titre...
fylou- Nombre de messages : 1179
Age : 65
Equipes favorites : OL
Points : 1181
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°796
Re: Ligue 1 2008/2009
http://www.olweb.fr/fr/Accueil/100007/Article/50405/Officiel-Robert-Duverne-quitte-l-OL
Une bonne nouvelle pour MB.
Une bonne nouvelle pour MB.
Louis XIV- Nombre de messages : 46
Age : 38
Equipes favorites : OM / Arsenal / LOSC
Points : 12
Date d'inscription : 19/06/2008
- Message n°797
Re: Ligue 1 2008/2009
l'ami Marouane a décuvé
Dimanche dernier, la célébration du sixième titre bordelais battait
son plein, lorsque Marouane Chamakh a affirmé qu'il serait toujours
Girondin. « Je me suis emballé, rectifie l'attaquant de 25 ans dans Le Parisien. J'ai été pris par l'euphorie ambiante et j'ai dit que je restais pour ne pas gâcher la fête.»
Six jours après sa volte-face, l'international marocain est aujourd'hui catégorique : « Je n'ai pas changé d'avis. Je veux toujours partir. Même si je ne ferme aucune porte, affirme celui qui est sous contrat avec le champion de France jusqu'en 2011. J'ai croisé des supporters lundi et ils ont compris. Ils m'ont dit qu'ils ne m'en voudront pas si je pars.
» En clair, Chamakh veut rejoindre l'Angleterre, où Arsenal, Tottenham,
Fulham et Everton lui font les yeux doux. Mais il garde sous le coude
une prolongation de deux ans à Bordeaux. Au cas où...
EtranG- Nombre de messages : 1346
Age : 40
Localisation : Marseille
Points : 639
Date d'inscription : 04/06/2008
- Message n°798
Re: Ligue 1 2008/2009
fylou- Nombre de messages : 1179
Age : 65
Equipes favorites : OL
Points : 1181
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°799
Re: Ligue 1 2008/2009
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°800
Re: Ligue 1 2008/2009
Faudra penser à lui offrir une giroutette en or macif comme cadeau de départ
east.fo.cho- Nombre de messages : 570
Age : 41
Points : 223
Date d'inscription : 10/06/2008
- Message n°801
Re: Ligue 1 2008/2009
Malamati a écrit:toujours des pseudo arguments...
sors les stats qui font que l' OM n' est pas champion, le nombre de points laché à domicile par exemple.
Bordeaux 11 victoires à la suite, ça aussi c' est un record.
Le resultats c'est 77 pts pour l' OM et 80 pour bordeaux, point.
.
haha ok
bon va remplir le topic rising tout seul; l'OM n'est pas champion
fylou- Nombre de messages : 1179
Age : 65
Equipes favorites : OL
Points : 1181
Date d'inscription : 05/06/2008
- Message n°802
Re: Ligue 1 2008/2009
Lyon battu mais pas abattu ? Analyse (Liberation)
Une analyse qui oscille entre le très bon et le moyen mais qui a le mérite de tordre le coup à certaines légendes...
L'ogre était rassasié. Après sept saisons passées à engloutir des
titres, l’Olympique lyonnais (OL) sort d’une saison blanche. Un jeûne
soudain et douloureux. Pas un trophée à se mettre sous la dent, pas une
coupe, rien. En championnat, l’OL rétrograde même à la troisième place.
Simple accident, ou passation de pouvoir définitive ? Deux semaines
après la fin de la saison, Libération consacre ce matin deux pages à
cette question. Pour y répondre, il faut lever le nez. Le titre ne
s’est pas perdu ces dernières semaines, quand Bordeaux et Marseille ont
doublé Lyon. Non, les raisons de l’échec sont à rechercher deux ans
plus tôt. Des microfissures, mal rebouchées, se sont élargies, et
l’ogre a commis en chemin quelques erreurs stratégiques qui l’ont
conduit à déchausser...
Splendide et cruel
L’histoire commence à l’hiver 2006. L’OL vient de boucler la première
partie du championnat en écrasant la concurrence, glanant 50 points sur
57. Il est passé tout près d’une demi-finale de la Ligue des champions
au printemps précédent, au terme d’un match splendide et cruel à Milan.
Puis a surclassé le grand Real Madrid (3-0) à la rentrée. Il reste
qualifié pour les huitièmes de finale contre la Roma, tous les voyants
sont au vert, Lyon semble en pleine progression. Il est en réalité au
sommet. La descente va commencer, sans qu’il soit besoin d’attacher sa
ceinture : la glissade va être lente, imperceptible.
Au coeur de cet hiver radieux, des failles fragilisent le vestiaire
lyonnais. Les premiers titres avaient été gagnés avec une bande de
copains. Il y avait souvent barbecue le week-end chez les Laville, les
Delmotte, les Coupet, chez Sonny Anderson. Ils étaient amis à
l’extérieur et contents de se battre ensemble sur la pelouse. Mais une
partie des anciens est partie en cet hiver 2006 et le climat se dégrade.
Des tensions apparaissent autour de Juninho, génial milieu de terrain,
à qui l’entraîneur Gérard Houllier a donné un statut de «star» de
l’équipe, méritant quelques passedroits. Cela mine le
vestiaire. Des bisbilles croissantes apparaissent aussi entre le coach
et son staff. A la reprise du championnat, Lyon perd son jeu, et quatre
matchs en deux mois. Puis il se fait éliminer contre toute attente par
la Roma. «Le fait d’avoir plané sur le championnat a peut-être généré
de la facilité, de la suffisance, au niveau des joueurs comme au niveau
du club», analyse aujourd’hui Jean-Michel Aulas, président de l’OL
A l’époque, le président ne sent pas la dérive.
Il s’éparpille en cet hiver 2006-2007. Court les marchés financiers
européens afin de préparer l’entrée en Bourse de son club ; commence à
travailler sur un projet de grand stade. Tout cela le tient plus
éloigné que d’ordinaire des vestiaires. En juin, le club tire les conséquences des tensions dans le staff. Il
laisse partir Houllier, qui réclamait les pleins pouvoirs en matière de
recrutement, se plaignait de se voir imposer des joueurs ou refuser des
embauches. Lui qui avait été manager général de Liverpool explique,
grinçant, que même pour acheter une poubelle, il n’a aucune autonomie.
A Lyon, les recrutements sont alors gérés en petit comité au sein
duquel l’ancien buteur Bernard Lacombe, conseiller spécial du
président, a plus d’influence que le coach. Donner à l’été 2007 les
clefs du recrutement à Houllier, entraîneur déjà en place, aurait sans
doute permis une transition en douceur. «J’ai
eu ensuite des regrets, concède Aulas. On a d’ailleurs discuté tous les
deux dernièrement, à Rome, lors de la finale de la Ligue des champions.
Je lui ai fait comprendre que notre histoire aurait pu se prolonger,
mais à l’époque, je n’étais pas prêt à cette évolution. C’est Jérôme
Seydoux [patron du groupe Chargeurs, actionnaire majoritaire de l’OL]
qui m’a convaincu plus tard de changer d’organisation.»
Le départ d’Houllier accélère la régression du club. L’actuel
directeur technique national agaçait par ses caprices, son ego, le
souci de contrôle obsessionnel de son image. Mais il connaît
parfaitement le football et avait une idée directrice, cohérente, pour
le club. Avec lui, l’OL usait l’adversaire, réjouissait le spectateur.
Pour le remplacer, certains cadres de l’OL militent pour la promotion
de Rémy Garde, ancien international de Lyon et d’Arsenal qui fait
partie du staff. Natif du même village qu’Aulas, il est loyal, posé,
connaît le club et le football. Jean-Michel Aulas préfère recruter
Alain Perrin, coach viré de Marseille trois ans plus tôt.
L’arrivée du nouvel entraîneur s’accompagne d’un mercato calamiteux.
L’OL cède d’un coup Abidal, Tiago, Malouda et surtout Alou Diarra,
prometteur milieu de terrain qui venait à peine d’arriver. Et qui
jouera un rôle déterminant, deux ans plus tard, dans la conquête du
titre bordelais. Pourquoi
le club provoque-t-il une telle purge ? Peut-être parce qu’à l’époque,
il a beaucoup d’avance en France, trop, ce qui le pousse à privilégier
à court terme le résultat financier, reportant les investissements pour
le jour où le grand stade sortira de terre.
Infatigable meneur
Les effets conjugués du mercato et de Perrin se font vite sentir. Le
stage d’avant saison, en Corée, tourne mal. Le nouvel entraîneur se
brouille avec une partie du staff et certains de ses joueurs. Ils ne
supportent pas son ironie, ses choix sportifs. L’OL perd son fond
de jeu, puis des matchs importants, et Aulas recadre sèchement son
coach, le plaçant sous la tutelle étroite du commandeur Lacombe. Sur
l’élan des années précédentes, Lyon gagne un septième titre de champion
et une coupe de France. Puis Aulas congédie Perrin.
Le club prend alors le virage refusé un an plus tôt à Houllier. Il
propose à Claude Puel, entraîneur lillois, un bail de quatre ans et les
pleins pouvoirs en matière de recrutement. Mais la transition est
brutale : Puel arrive, une partie des emplettes sont déjà bouclées,
l’effectif manquera de complémentarité avec un milieu trop léger et
trop peu de joueurs de couloirs. Autre élément important : Lyon perd
l’un de ses derniers tauliers. Grégory Coupet, gardien exemplaire, s’en
va cirer le banc d’un club espagnol, car il ne supporte plus les
comportements de jeunes stars de la génération montante. «Avant,
décrypte un cadre du club, il y avait des rites de transmission. Même
s’ils n’étaient pas très sains, ils étaient admis par tous. Le jeune
portait les ballons et les buts, c’est tout juste s’il ne faisait pas
les pompes des vieux. Si Fleury Di Nallo passait une avoinée à Lacombe,
Lacombe ne mouftait pas. Aujourd’hui, si Juninho passe une avoinée à un
jeune, le jeune lui répond “t’es qui, toi ?” C’est difficile à
accepter.»
Le début de saison est pourtant prometteur. Quelques débuts de matchs
catastrophiques sont rattrapés par des retournements spectaculaires, et
l’on se dit que la saison peut être belle. Jusqu’à un hiver terrible,
qui nous amène aux dernières causes, plus ponctuelles, de l’échec.
D’abord, en décembre, la blessure de Sidney Govou, joueur décisif qui
se rompt un tendon d’Achille. Govou traîne depuis le début de sa
carrière une réputation (qu’il honore) de fêtard. Cela nuit à sa
carrière, pas à son rendement sur le terrain. «Il
n’est peut-être pas exemplaire la nuit, mais il l’est à l’entraînement,
dans son état d’esprit, et pendant les matchs. C’est là-dessus qu’il
devrait être jugé», soupire son président, d’accord avec l’idée que
Govou est peut-être aujourd’hui le joueur le plus important pour Lyon.
Pas seulement parce qu’il est infatigable, combatif, discipliné
tactiquement. Aussi parce que c’est un meneur naturel, simple et
déterminé, soucieux d’équité, qui entraîne les autres sans un mot.
«Quand il est là, résume Lacombe, tu sens de la force dans le
vestiaire. S’il devait partir, l’OL perdrait un joueur immense.»
L’OL perd ensuite son attaquant brésilien Fred, parfait complément de
Karim Benzema. Le président Aulas a laissé traîner un bras de fer long
comme une telenovela. Persuadé que son buteur finira par rester, il le
voit finalement partir fin janvier au Brésil. Trop tard pour en
recruter un autre. Karim Benzema se retrouve orphelin de Fred, dont il
est devenu l’ami. «Fred s’était mis à la disposition du gamin, explique
Lacombe. En les regardant jouer, ça me rappelait quand je jouais à
Bordeaux avec Dieter Müller. C’est beaucoup de bonheur, deux buteurs
qui s’entendent. Ils n’ont pas besoin de regarder, ils se trouvent les
yeux fermés.»
Après le départ de Fred, Benzema plonge, le club aussi. Les buts du
jeune prodige avaient caché la misère du jeu lyonnais. On s'est «fait
chier» à Gerland cette année, reconnaîtra Aulas. Le club se fait
éliminer logiquement par le FC Barcelone, en huitième de finale de la
Ligue des champions. Et ne réussit pas à rebondir. «La
défaite à Barcelone a été suivie d’une dépression collective, explique
Aulas. Dans les vestiaires, j’ai vu pleurer trois ou quatre joueurs.
C’était terrible. J’ai compris ensuite que cette génération, qui avait
tellement gagné, n’arrivait plus à se motiver que pour les très grands
rendez-vous : l’Europe, Marseille, Bordeaux… Il faut en tirer les
leçons, et renouveler. » D’où le départ, pour commencer, de Juninho.
A fleur de peau
Le mode de management de Claude Puel, directif, autoritaire, est aussi en cause dans l’absence de réaction.
Il laisse peu de marge de manoeuvre à ses joueurs. Le groupe, si serein
trois ans plus tôt, se prend moins en charge et se trouve souvent à
fleur de peau. Un exemple cet hiver: au moment où
Benzema est au fond du trou, l’entraîneur lui impose de regarder un
montage vidéo des déplacements du Portugais Pauleta, ex-buteur
parisien. Cela désarçonne Benzema. «Karim avait déjà perdu son jeu
soupire un de ses proches. Au lieu de l’aider à le retrouver, Puel lui
demandait d’apprendre le jeu d’un autre.»
La concurrence attise les tensions, rend certains joueurs moins
collectifs. Lorsqu’ils doivent gagner leur place pour le match suivant,
ils jouent des partitions plus individuelles. Là aussi, le club
compte tirer les leçons. Aulas envie la culture des clubs anglais, où
la concurrence est stimulante. Mais il explique que son club va
s’appuyer sur un groupe de «18 ou 19 internationaux, au lieu des 22 ou
23 actuels». La nouvelle cellule, sous la direction de Puel, gérera
tous les recrutements, des plus jeunes jusqu’aux pros. Quelques
pointures débarqueront, de préférence bagarreuses, et l’OL s’appuiera
un peu plus sur son centre de formation. Un groupe de «néopros» va être
placé à la rentrée sous la direction d’un entraîneur spécifique,
pour les préparer à intégrer l’étage d’au-dessus. Les gamins seront
moins capricieux que certains anciens. Et puis, cette génération semble
très prometteuse. Certains de ces jeunes affichent un vrai talent. Et
beaucoup d’appétit.
Olivier BERTRAND
Une analyse qui oscille entre le très bon et le moyen mais qui a le mérite de tordre le coup à certaines légendes...
L'ogre était rassasié. Après sept saisons passées à engloutir des
titres, l’Olympique lyonnais (OL) sort d’une saison blanche. Un jeûne
soudain et douloureux. Pas un trophée à se mettre sous la dent, pas une
coupe, rien. En championnat, l’OL rétrograde même à la troisième place.
Simple accident, ou passation de pouvoir définitive ? Deux semaines
après la fin de la saison, Libération consacre ce matin deux pages à
cette question. Pour y répondre, il faut lever le nez. Le titre ne
s’est pas perdu ces dernières semaines, quand Bordeaux et Marseille ont
doublé Lyon. Non, les raisons de l’échec sont à rechercher deux ans
plus tôt. Des microfissures, mal rebouchées, se sont élargies, et
l’ogre a commis en chemin quelques erreurs stratégiques qui l’ont
conduit à déchausser...
Splendide et cruel
L’histoire commence à l’hiver 2006. L’OL vient de boucler la première
partie du championnat en écrasant la concurrence, glanant 50 points sur
57. Il est passé tout près d’une demi-finale de la Ligue des champions
au printemps précédent, au terme d’un match splendide et cruel à Milan.
Puis a surclassé le grand Real Madrid (3-0) à la rentrée. Il reste
qualifié pour les huitièmes de finale contre la Roma, tous les voyants
sont au vert, Lyon semble en pleine progression. Il est en réalité au
sommet. La descente va commencer, sans qu’il soit besoin d’attacher sa
ceinture : la glissade va être lente, imperceptible.
Au coeur de cet hiver radieux, des failles fragilisent le vestiaire
lyonnais. Les premiers titres avaient été gagnés avec une bande de
copains. Il y avait souvent barbecue le week-end chez les Laville, les
Delmotte, les Coupet, chez Sonny Anderson. Ils étaient amis à
l’extérieur et contents de se battre ensemble sur la pelouse. Mais une
partie des anciens est partie en cet hiver 2006 et le climat se dégrade.
Des tensions apparaissent autour de Juninho, génial milieu de terrain,
à qui l’entraîneur Gérard Houllier a donné un statut de «star» de
l’équipe, méritant quelques passedroits. Cela mine le
vestiaire. Des bisbilles croissantes apparaissent aussi entre le coach
et son staff. A la reprise du championnat, Lyon perd son jeu, et quatre
matchs en deux mois. Puis il se fait éliminer contre toute attente par
la Roma. «Le fait d’avoir plané sur le championnat a peut-être généré
de la facilité, de la suffisance, au niveau des joueurs comme au niveau
du club», analyse aujourd’hui Jean-Michel Aulas, président de l’OL
A l’époque, le président ne sent pas la dérive.
Il s’éparpille en cet hiver 2006-2007. Court les marchés financiers
européens afin de préparer l’entrée en Bourse de son club ; commence à
travailler sur un projet de grand stade. Tout cela le tient plus
éloigné que d’ordinaire des vestiaires. En juin, le club tire les conséquences des tensions dans le staff. Il
laisse partir Houllier, qui réclamait les pleins pouvoirs en matière de
recrutement, se plaignait de se voir imposer des joueurs ou refuser des
embauches. Lui qui avait été manager général de Liverpool explique,
grinçant, que même pour acheter une poubelle, il n’a aucune autonomie.
A Lyon, les recrutements sont alors gérés en petit comité au sein
duquel l’ancien buteur Bernard Lacombe, conseiller spécial du
président, a plus d’influence que le coach. Donner à l’été 2007 les
clefs du recrutement à Houllier, entraîneur déjà en place, aurait sans
doute permis une transition en douceur. «J’ai
eu ensuite des regrets, concède Aulas. On a d’ailleurs discuté tous les
deux dernièrement, à Rome, lors de la finale de la Ligue des champions.
Je lui ai fait comprendre que notre histoire aurait pu se prolonger,
mais à l’époque, je n’étais pas prêt à cette évolution. C’est Jérôme
Seydoux [patron du groupe Chargeurs, actionnaire majoritaire de l’OL]
qui m’a convaincu plus tard de changer d’organisation.»
Le départ d’Houllier accélère la régression du club. L’actuel
directeur technique national agaçait par ses caprices, son ego, le
souci de contrôle obsessionnel de son image. Mais il connaît
parfaitement le football et avait une idée directrice, cohérente, pour
le club. Avec lui, l’OL usait l’adversaire, réjouissait le spectateur.
Pour le remplacer, certains cadres de l’OL militent pour la promotion
de Rémy Garde, ancien international de Lyon et d’Arsenal qui fait
partie du staff. Natif du même village qu’Aulas, il est loyal, posé,
connaît le club et le football. Jean-Michel Aulas préfère recruter
Alain Perrin, coach viré de Marseille trois ans plus tôt.
L’arrivée du nouvel entraîneur s’accompagne d’un mercato calamiteux.
L’OL cède d’un coup Abidal, Tiago, Malouda et surtout Alou Diarra,
prometteur milieu de terrain qui venait à peine d’arriver. Et qui
jouera un rôle déterminant, deux ans plus tard, dans la conquête du
titre bordelais. Pourquoi
le club provoque-t-il une telle purge ? Peut-être parce qu’à l’époque,
il a beaucoup d’avance en France, trop, ce qui le pousse à privilégier
à court terme le résultat financier, reportant les investissements pour
le jour où le grand stade sortira de terre.
Infatigable meneur
Les effets conjugués du mercato et de Perrin se font vite sentir. Le
stage d’avant saison, en Corée, tourne mal. Le nouvel entraîneur se
brouille avec une partie du staff et certains de ses joueurs. Ils ne
supportent pas son ironie, ses choix sportifs. L’OL perd son fond
de jeu, puis des matchs importants, et Aulas recadre sèchement son
coach, le plaçant sous la tutelle étroite du commandeur Lacombe. Sur
l’élan des années précédentes, Lyon gagne un septième titre de champion
et une coupe de France. Puis Aulas congédie Perrin.
Le club prend alors le virage refusé un an plus tôt à Houllier. Il
propose à Claude Puel, entraîneur lillois, un bail de quatre ans et les
pleins pouvoirs en matière de recrutement. Mais la transition est
brutale : Puel arrive, une partie des emplettes sont déjà bouclées,
l’effectif manquera de complémentarité avec un milieu trop léger et
trop peu de joueurs de couloirs. Autre élément important : Lyon perd
l’un de ses derniers tauliers. Grégory Coupet, gardien exemplaire, s’en
va cirer le banc d’un club espagnol, car il ne supporte plus les
comportements de jeunes stars de la génération montante. «Avant,
décrypte un cadre du club, il y avait des rites de transmission. Même
s’ils n’étaient pas très sains, ils étaient admis par tous. Le jeune
portait les ballons et les buts, c’est tout juste s’il ne faisait pas
les pompes des vieux. Si Fleury Di Nallo passait une avoinée à Lacombe,
Lacombe ne mouftait pas. Aujourd’hui, si Juninho passe une avoinée à un
jeune, le jeune lui répond “t’es qui, toi ?” C’est difficile à
accepter.»
Le début de saison est pourtant prometteur. Quelques débuts de matchs
catastrophiques sont rattrapés par des retournements spectaculaires, et
l’on se dit que la saison peut être belle. Jusqu’à un hiver terrible,
qui nous amène aux dernières causes, plus ponctuelles, de l’échec.
D’abord, en décembre, la blessure de Sidney Govou, joueur décisif qui
se rompt un tendon d’Achille. Govou traîne depuis le début de sa
carrière une réputation (qu’il honore) de fêtard. Cela nuit à sa
carrière, pas à son rendement sur le terrain. «Il
n’est peut-être pas exemplaire la nuit, mais il l’est à l’entraînement,
dans son état d’esprit, et pendant les matchs. C’est là-dessus qu’il
devrait être jugé», soupire son président, d’accord avec l’idée que
Govou est peut-être aujourd’hui le joueur le plus important pour Lyon.
Pas seulement parce qu’il est infatigable, combatif, discipliné
tactiquement. Aussi parce que c’est un meneur naturel, simple et
déterminé, soucieux d’équité, qui entraîne les autres sans un mot.
«Quand il est là, résume Lacombe, tu sens de la force dans le
vestiaire. S’il devait partir, l’OL perdrait un joueur immense.»
L’OL perd ensuite son attaquant brésilien Fred, parfait complément de
Karim Benzema. Le président Aulas a laissé traîner un bras de fer long
comme une telenovela. Persuadé que son buteur finira par rester, il le
voit finalement partir fin janvier au Brésil. Trop tard pour en
recruter un autre. Karim Benzema se retrouve orphelin de Fred, dont il
est devenu l’ami. «Fred s’était mis à la disposition du gamin, explique
Lacombe. En les regardant jouer, ça me rappelait quand je jouais à
Bordeaux avec Dieter Müller. C’est beaucoup de bonheur, deux buteurs
qui s’entendent. Ils n’ont pas besoin de regarder, ils se trouvent les
yeux fermés.»
Après le départ de Fred, Benzema plonge, le club aussi. Les buts du
jeune prodige avaient caché la misère du jeu lyonnais. On s'est «fait
chier» à Gerland cette année, reconnaîtra Aulas. Le club se fait
éliminer logiquement par le FC Barcelone, en huitième de finale de la
Ligue des champions. Et ne réussit pas à rebondir. «La
défaite à Barcelone a été suivie d’une dépression collective, explique
Aulas. Dans les vestiaires, j’ai vu pleurer trois ou quatre joueurs.
C’était terrible. J’ai compris ensuite que cette génération, qui avait
tellement gagné, n’arrivait plus à se motiver que pour les très grands
rendez-vous : l’Europe, Marseille, Bordeaux… Il faut en tirer les
leçons, et renouveler. » D’où le départ, pour commencer, de Juninho.
A fleur de peau
Le mode de management de Claude Puel, directif, autoritaire, est aussi en cause dans l’absence de réaction.
Il laisse peu de marge de manoeuvre à ses joueurs. Le groupe, si serein
trois ans plus tôt, se prend moins en charge et se trouve souvent à
fleur de peau. Un exemple cet hiver: au moment où
Benzema est au fond du trou, l’entraîneur lui impose de regarder un
montage vidéo des déplacements du Portugais Pauleta, ex-buteur
parisien. Cela désarçonne Benzema. «Karim avait déjà perdu son jeu
soupire un de ses proches. Au lieu de l’aider à le retrouver, Puel lui
demandait d’apprendre le jeu d’un autre.»
La concurrence attise les tensions, rend certains joueurs moins
collectifs. Lorsqu’ils doivent gagner leur place pour le match suivant,
ils jouent des partitions plus individuelles. Là aussi, le club
compte tirer les leçons. Aulas envie la culture des clubs anglais, où
la concurrence est stimulante. Mais il explique que son club va
s’appuyer sur un groupe de «18 ou 19 internationaux, au lieu des 22 ou
23 actuels». La nouvelle cellule, sous la direction de Puel, gérera
tous les recrutements, des plus jeunes jusqu’aux pros. Quelques
pointures débarqueront, de préférence bagarreuses, et l’OL s’appuiera
un peu plus sur son centre de formation. Un groupe de «néopros» va être
placé à la rentrée sous la direction d’un entraîneur spécifique,
pour les préparer à intégrer l’étage d’au-dessus. Les gamins seront
moins capricieux que certains anciens. Et puis, cette génération semble
très prometteuse. Certains de ces jeunes affichent un vrai talent. Et
beaucoup d’appétit.
Olivier BERTRAND
Bizness- Nombre de messages : 1266
Age : 40
Localisation : La Rochelle / Bordeaux
Equipes favorites : Lyon, Bordeaux, Nancy, Reims
Points : 768
Date d'inscription : 07/06/2008
- Message n°803
Re: Ligue 1 2008/2009
Completement d'accord avec 80% de cet article...
Fearless- Nombre de messages : 538
Age : 43
Points : 305
Date d'inscription : 07/06/2008
- Message n°804
Re: Ligue 1 2008/2009
Maillot 2009/2010 :
J'espere que c'est une blague?
J'espere que c'est une blague?
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°805
Re: Ligue 1 2008/2009
Quelle horreur
east.fo.cho- Nombre de messages : 570
Age : 41
Points : 223
Date d'inscription : 10/06/2008
- Message n°806
Re: Ligue 1 2008/2009
Des nouvelles d’Ahmed Yahiaoui ?
Je l’ai eu au téléphone il y a quelques jours. Normalement, il doit
reprendre en CFA avec Marseille l’année prochaine. Ils lui ont rouvert
les portes, c’est très bien. Il a revu José (Anigo). Il a du retard à
combler parce que sur le plan physique, ça fait un moment qu’il n’a
rien fait. J’espère que ça se fera avec Marseille. Qu’il reprenne en
CFA dans un premier temps, et on verra s’il peut redevenir le Ahmed
Yahiaoui que nous on connaissait…
black eagle- Nombre de messages : 681
Age : 38
Localisation : Toulon
Equipes favorites : Olympique Marseille,As Roma
Points : 609
Date d'inscription : 30/06/2008
- Message n°807
Re: Ligue 1 2008/2009
Quelle imposture celui la...Physiquement il n'a jamais été au niveau,il faudrait préciser.
Sinon j'ai entendu dire que RLD mettrait 16.5 millions de sa poche pour finaliser le transfert de Lucho...Ce qui serait une premiere bonne action de Robert depuis un moment.
Sinon j'ai entendu dire que RLD mettrait 16.5 millions de sa poche pour finaliser le transfert de Lucho...Ce qui serait une premiere bonne action de Robert depuis un moment.
EtranG- Nombre de messages : 1346
Age : 40
Localisation : Marseille
Points : 639
Date d'inscription : 04/06/2008
- Message n°808
Re: Ligue 1 2008/2009
je kifferai le voir debarquer à marseille, mais en même temps sa voudrait dire que Cana partirai malheureusement.
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°809
Re: Ligue 1 2008/2009
16.5M ce serait le plus gros transfert de l'histoire du club nan ?
Il faut au moins ça pour que RLD évite de se prendre tout un stade de banderoles d'insultes à la reprise
Ce serait un sacré coup en tous cas
Il faut au moins ça pour que RLD évite de se prendre tout un stade de banderoles d'insultes à la reprise
Ce serait un sacré coup en tous cas
YAK-B- Nombre de messages : 890
Age : 37
Localisation : 38
Equipes favorites : FC Girondins de Bordeaux
Points : 786
Date d'inscription : 28/10/2008
- Message n°810
Re: Ligue 1 2008/2009
Le 3ème maillot est splendide. Enfin un beau maillot en coupe d'Europe